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Comment faire connaître votre nouvelle application à vos meilleurs prospects ? En pratiquant l’ASO (App Store Optimization) ! Il s’agit d’atteindre le niveau de visibilité optimale pour celles et ceux qui tapent certains mots-clés liés à votre service. Une visibilité qui doit, bien évidemment, aboutir à un fort taux de conversion, dans une perspective de Growth Hacking Mobile.

Pour faire court, l’ASO, c’est du SEO pour les applis, avec un certain nombre de différences néanmoins. Voici donc comment l’on procède, avec les principales techniques pour avoir une application bien optimisée !

L’ASO, à quoi ça sert ?

Ainsi, vous avez décidé de développer une application ? Bonne idée, c’est une pratique de plus en plus en vogue, avec plus de 200 milliards de téléchargements en 2019. Sauf que, concomitamment, l’offre a bien entendu explosé sur le marché des applications ; Google Play et l’AppStore mis ensemble, on en trouve aujourd’hui plus de 6 millions !

Or, même si vous avez un site internet sur lequel vous avez judicieusement placé un bouton CTA (call-to-action), avec un lien permettant aux mobinautes de télécharger directement votre appli, vous augmenterez significativement le nombre de vos utilisateurs si vous vous rendez facilement trouvable sur l’un des stores dédiés aux logiciels mobiles.

App Store Optimization recherche storeRecherche d'appli ASORecherche organique Google Play

En effet, sur les magasins applicatifs, que ce soit sur Google Play ou sur l’AppStore, un mobinaute peut effectuer une recherche par mots-clés pour trouver l’application qui répondra à ses besoins : “lecteur de livre audio”, “coach nutritionnel et sportif”, “accordeur d’instruments”, etc. Il choisira généralement parmi les résultats les mieux classés, c’est-à-dire visible avant défilement de la page.

Quelle que soit l’idée de votre propre appli, il existe tout un panel d’astuces pour non seulement figurer parmi les premiers résultats, mais également pour augmenter significativement votre taux de clics et d’installations (durable si possible).

Comment bien débuter votre stratégie ASO ?

Sortir une app, c’est comme sortir n’importe quel autre type de produit, cela nécessite une étude de marché en bonne et due forme, qui doit comporter, entre autres choses :

  • l’identification de vos principaux concurrents ;
  • leur niveau de référencement, notamment issu de leur stratégie marketing et ASO ;
  • les différents canaux qui mènent à ces applications ;
  • quels sont les points différenciant qui mettent en valeur votre propre app ?

D’autre part, pour mieux vous préparer, vous et vos équipes, il convient de connaître certains éléments concernant le fonctionnement de l’AppStore et de Google Play. En effet, les deux magasins n’ont pas exactement les mêmes caractéristiques et facteurs de ranking. En voici un tableau non exhaustif, mais assez représentatif, néanmoins :

 

Facteurs de classementApp StoreGoogle Play
Liste de mots-clésOui (100 caractères)Non
Nom de l’applicationOui (30 caractères)Oui (50 caractères)
Sous-titre de l’applicationOui (30 caractères)Non
Catégorie(s) de l’applicationOuiOui
Description courteNon (170 caractères)Oui (80 caractères)
Description longueNon (4 000 caractères)Oui (4 000 caractères)
Achat intégréOuiOui
Évaluation et avisOuiOui
Mises à jourOuiOui
Téléchargement et engagementOuiOui
Mentionner le nom du développeur et de l’éditeurOuiOui

 

On remarque d’ores et déjà qu’il faudra traiter un peu différemment la présence de votre app sur les deux grosses plateformes de référence. On reviendra plus avant sur les optimisations à mettre en place pour une meilleure gestion des facteurs de classement ASO.

Comment agir concrètement sur votre ASO en 12 points clés ?

Nous allons revenir sur les points évoqués dans le tableau ci-dessus, mais pas uniquement. Vous allez voir que les éléments de cette liste sont assez intuitifs, mais il convient de n’en omettre aucun, car la concurrence est vraiment rude !

1/ Les mots-clés comme pour le référencement naturel

Pour être au plus proche de vos prospects, il faut, comme toujours sur le net, connaître les mots-clés qu’ils utilisent, et vous rendre visible sur les plus stratégiques d’entre eux. Cela requiert, en amont, une phase de recherche pour trouver le mot-clé le plus recherché avec le moins de concurrence dessus.

Si vous le travaillez bien, les personnes qui le taperont dans leur barre de recherche verront apparaître votre logiciel mobile dans la boutique applicative qu’elles utilisent. Aussi est-il capital de bien cibler votre audience, afin de mieux anticiper ses choix de mots-clés.

Ajouter mots-clés dans l'Apple Store

À ce titre, il faut savoir que l’AppStore propose un champ dédié spécifiquement aux mots-clés (ci-dessus), que vous avez choisis pour positionner votre application. Renseignez-y les termes les plus stratégiques que vous avez trouvés.

Quant à Google Play, c’est le même fonctionnement que pour les moteurs de recherche : un algorithme va indexer votre application en passant au peigne fin les éléments thématiques essentiels de la partie texte.

À ce titre, voici quelques outils pour vous faire gagner du temps :

Data.ai ;

– AppAnnie ;

Mobile Action ;

Appbrain ;

Apptweak.

2/ Le nom de l’application : important pour la plupart des recherches

Environ ¾ des mobinautes recherchent directement le nom d’une application dans les magasins dédiés. De leur côté, celles et ceux qui procèdent à une recherche organique seront directement impactés par le nom de votre produit digital ; en effet, un bon titre peut attiser la curiosité. Le meilleur compromis possible est alors de donner une identité forte à votre marque, avec des termes simples à mémoriser, tout en insérant un mot-clé principal dans le titre, si possible.

Et si vous avez trop peu de place, notamment à cause des 30 caractères seulement autorisés sur l’AppStore (contre 50 caractères sur Google Play), vous pouvez vous rattraper dans le sous-titre, qui offre de meilleures latitudes pour caser des mots-clés (tant qu’ils sont pertinents). C’est également ici que vous pouvez placer un CTA et aussi le nom des développeurs et éditeurs.

3/ La description de l’application : attractivité et expérience utilisateur

Autre métadonnée à renseigner au même titre que le nom, la description (entre 80 et 170 caractères max pour la courte et 4 000 pour la version longue) sert à votre ASO dans le sens où elle donne aux internautes les informations dont-ils ou elles ont besoin pour savoir comment l’appli fonctionne, les fonctionnalités qu’elle propose, combien vaut un abonnement, etc.

Description Google PlayDescription appli

La version courte du descriptif doit être avant tout attrayante, tandis que la version longue doit être explicative (donc rassurante). Aussi, ne pas lésiner sur les émoticônes !

D’un point de vue algorithmique, c’est évidemment un coin idéal pour caser des mots-clés stratégiques, mais uniquement pour Google Play, et seulement s’ils s’insèrent de manière claire et naturelle.

4/ La catégorie dans laquelle l’application est référencée

Les magasins applicatifs ont classé les logiciels mobiles en catégories : profitez-en pour faciliter l’indexation de votre appli par les algorithmes !

Sur Google Play, il n’y a qu’une seule catégorie où vous mettre, tandis que sur l’AppStore, vous disposez également de sous-catégories : ne négligez pas cette possibilité d’affiner la recherche de votre app par les utilisateurs !

Bien sûr, si, en substance, votre service digital rentre dans plusieurs catégories à la fois, essayez d’être le plus précis possible, afin que les utilisateurs sachent à quels besoins vous répondez en première intention, et quels mots-clés seront tapés par vos prospects.

5/ Les visuels de l’application : un facteur important de conversion

C’est bête à dire, mais le visuel joue énormément sur la confiance : un beau logo, des captures d’écrans qui laissent voir l’ergonomie (UX) des pages font que les mobinautes vont s’attendre à une meilleure qualité générale. Or la confiance (ou, encore plus fort, la curiosité) mène au clic ; le clic, au téléchargement !

Visuels Yuka Logo

Il est même possible d’y glisser un message en filigrane : les visuels de Yuka, par exemple, connotent la bonne santé, avec la représentation du vert en fond des screens, et dénotent la nutrition, avec le logo en forme de carotte, dont la simplicité, de surcroît, nous laisse imaginer (à raison) que l’usage de l’appli se fera sans difficulté.

Visuels Yuka application

Pour mener à bien cette partie du projet, faites directement appel à un ou une UI designer, qui remplira le cahier des charges suivant :

  • un visuel qui indique l’objectif principal de votre appli ;
  • une icône mémorable ;
  • l’harmonie des formes et des couleurs ;
  • un minimum de textes ;
  • une ergonomie perceptible à travers les captures d’écran ;
  • des tests A/B dans le cas où vous sortez plusieurs maquettes ;

Et si vous voulez donner un aperçu de ce que vous avez imaginé à vos collaborateur·ices designers, faites un tour sur previewed.app, un générateur de mockups mobiles en ligne.

6/ Les démos vidéo pour une approche didactique

Une bonne idée, surtout si votre appli fonctionne sur une mécanique inédite et innovante, c’est de passer un petit didacticiel vidéo afin de mettre le mobinaute en condition d’utilisation sans qu’il ou elle ait besoin de passer par la phase téléchargement.

Twitch vidéo d'introStrava vidéo d'intro

Les 5 premières secondes devront attirer l’œil, susciter la curiosité, puis le reste décrira les fonctionnalités disponibles, sans qu’il y ait besoin d’ajouter du son pour comprendre de quoi il s’agit. Cela signifie souvent d’accompagner les images par des sous-titres courts, clairs et assez gros pour être lisibles par tout le monde.

Nota Bene : les vidéos peuvent intégrer un CTA.

7/ La régularité des mises à jour : un indice de qualité

Que ce soit pour les mobinautes qui lisent les avis laissés par les premiers utilisateurs, ou bien pour les algorithmes, des mises à jour fréquentes suggèrent une volonté d’améliorer l’application en long et en large, de la simple correction de bugs aux nouvelles fonctionnalités, en passant par les ajustements UX.

Pour les deux plateformes, c’est donc à la fois un moyen de mieux ranker et d’augmenter votre taux de conversion ; on préfère généralement un logiciel “vivant” plutôt qu’une app figée sur ses acquis.

Nota Bene : attention aux mises à jour superficielles, lesquelles n’auront évidemment pas les effets escomptés !

8/ Les liens externes : un indicateur d’autorité

Ah les backlinks… Déjà qu’en SEO, c’est le Graal, et bien pour l’App Store Optimization, c’est exactement le même principe !

En effet, lorsqu’un site place dans son contenu des redirections vers votre page web (ici, en l’occurence, le téléchargement de votre appli), elle récupère du “link juice” ou jus de lien, qui fait monter son score d’autorité et, par là même, améliore son classement. D’autre part, cela augmente tout simplement vos chances d’obtenir de la visibilité et du clic à travers un autre canal que les magasins applicatifs !

Bien entendu, les liens entrants doivent coller à la thématique du contenu des deux pages : celle qui envoie, et celle qui reçoit la redirection. Dans le cas contraire, le backlink est considéré comme non naturel et abusif, ce qui peut engendrer l’effet inverse de ce qu’on recherchait.

9/ Le nombre de téléchargements : un indicateur de notoriété

Si votre application est installée souvent, les algorithmes prendront cela pour une preuve de sa popularité, de l’intérêt qu’elle suscite chez les mobinautes : excellent pour le ranking.

En revanche, attention au taux de désinstallation ! S’il est élevé et rapide (les utilisateurs retirent l’app très peu de temps après son téléchargement), c’est peut-être que votre logiciel souffre d’un problème :

  • d’ergonomie ;
  • de fonctionnalité (qui ne répond pas aux besoins utilisateurs malgré sa description) ;
  • de performance (temps de chargement trop longs, bugs, logiciel trop lourd, etc.).

… ou bien tout ça à la fois ! Dans ce cas, de promptes mises à jour mettront sans doute fin à ce très mauvais signal ASO, sans quoi celui-ci risque de vous faire tomber très rapidement dans les profondeurs des App Stores.

10/ La rétention ou le nombre d’utilisateurs actifs

Encore plus intéressant que les téléchargements, si votre appli mobile parvient à capter assez l’attention pour que votre audience numérique y passe du temps, vous courrez tout droit vers le succès !

C’est ce qu’on appelle la rétention : non seulement les mobinautes ne désinstallent pas l’appli, mais ils ou elles l’utilisent tous les jours. Un facteur qui ne tient finalement qu’à la qualité de votre logiciel.

11/ Les notes et les avis utilisateurs : soit vous rankez, soit vous apprenez !

C’est de notoriété publique : les notes et les commentaires aident la plupart des internautes (près de 80% avant un téléchargement) à effectuer un choix pour à peu près n’importe quels produits et services. Il en est de même pour les applications qui, à la moindre erreur néanmoins, peuvent récolter des avis très négatifs.

 

Commentaires applicationNotes et avis

En effet, les mobinautes n’hésitent pas à mettre la pire note possible pour une simple contrariété. Heureusement, vous disposez de deux solutions :

  • un droit de réponse aux commentaires, qu’ils soient constructifs ou désobligeants, en expliquant (toujours très cordialement) le pourquoi du comment du problème, comment le régler, ou quand la prochaine mise à jour sera faite pour qu’il ne survienne plus ;
  • les tests UX et les modifications qui s’imposent lorsque vous constatez un point de friction ou un dysfonctionnement en particulier.

Une fois que votre application est parfaitement au point, vous devez encourager les utilisateurs à poster un avis. Attention toutefois à ne pas poser trop de popups dans ce sens, au risque d’en agacer plusieurs.

12 / Jouer sur la localisation et se déployer dans plusieurs pays

Les fonctionnalités de votre appli s’exportent peut-être dans les pays voisins, voire sur d’autres continents. Dans ce cas, faites vite un travail de traduction sur le design général et les métadonnées laissées sur les Stores.

Si l’opération est gérée correctement, vous allez sans nul doute multiplier vos téléchargements et passer au niveau supérieur dans vos statistiques ASO.

Quels KPIs pour mesure l’efficacité de vos actions ASO ?

Pour arriver à maximiser à long terme votre nombre de conversions sans subir de désinstallations, il s’agit de suivre scrupuleusement divers indicateurs couramment utilisés pour l’App Store Optimization, comme :

  • le positionnement de l’application sur Google Play et l’AppStore (sur vos mots-clés stratégiques) ;
  • le nombre d’impressions (combien de fois votre app apparaît dans les stores) ;
  • le nombre/taux de clics ;
  • le nombre/taux d’installations et de désinstallations ;
  • le nombre et la provenance de vos backlinks ;
  • le coût d’acquisition des prospects, qui doit baisser avec le temps et demeurer largement moins élevé que pour la publicité ;
  • le coût de conversion (CRO), c’est-à-dire ce chaque téléchargement vous aura coûté en ASO (l’acquisition ci-dessus pouvant désigner le coût par vue ou par clic).

Pour surveiller vos performances dans tous ces domaines et évoluer dans le bon sens, vous aurez recours à un outil Analytics comme il en existe aujourd’hui des dizaines, y compris dédiés aux applis mobiles !

En bref, l’ASO, c’est…

Une panoplie d’optimisations qu’on a tendance à trop vite oublier, grisés que nous sommes par la perspective du lancement de notre application révolutionnaire. Une négligence qui peut s’avérer catastrophique, car elle nuit gravement à la visibilité de l’app, et donc aux conversions qui s’ensuivent.

Afin de démarrer sur les chapeaux de roues et faire décoller votre projet, faites tout simplement appel à des experts en SEO et UX/UI design. Enfin, on ne réinventera pas l’eau chaude en vous rappelant que l’originalité et la qualité intrinsèque de votre produit digital primeront toujours sur tous vos efforts d’optimisation…

Vos questions, nos réponses !

Comment une agence de référencement peut-elle vous aider en ASO ?

Pour une agence comme Uplix, l’optimisation d’une application pour qu’elle se positionne dans les Stores Google et Apple n’est pas plus difficile que faire du SEO classique. Si les facteurs de ranking ont un ordre d’importance un peu différent pour les magasins applicatifs, les savoirs-faire restent les mêmes : rédaction de contenu, UX design, identification des meilleurs mots-clés, netlinking, importance attachée à la partie développement, etc.

ASO vs SEO : quelles différences ?

Si les deux pratiques se ressemblent, il convient de ne pas les amalgamer non plus. Si un expert SEO est largement capable de se débrouiller en ASO, en mettant en pratique ses enseignements, quelqu’un qui ne connaîtrait que l’ASO serait vite débordé par les centaines de facteurs et de concurrents à prendre en compte en référencement naturel.

Par exemple, une notion comme le taux de rebond n’existe pas en App Store Optimization. De la même manière, le taux de désinstallation n’a pas sa place dans les problématiques de SEO traditionnel.

Enfin, si l’objectif premier du SEO est de faire partie du top tiers des SERPs, l’ASO cherche plus directement à obtenir un grand nombre de conversions. Ce sont donc deux approches bien distinctes, malgré leurs similitudes patentes.

Quels sont les principales boutiques d’applications ?

L’ASO va surtout se concentrer sur l’App Store, le magasin d’Apple, et sur Google Play. Ces deux magasins applicatifs ont un fonctionnement très similaire, avec quelques particularités propres (voir notre article introductif sur l’App Store Optimization). À eux deux, ils rassemblent un chiffre d’affaires estimé à près de 40 milliards de dollars. L’AppStore, actif depuis 2008, sert aux appareils Apple (iPhone, iPad et Mac), tandis que Google Play est intégré dans la plupart des appareils Android.

FAQ
Comment une agence de référencement peut-elle vous aider en ASO ?
Pour une agence comme Uplix, l’optimisation d’une application pour qu’elle se positionne dans les Stores Google et Apple n’est pas plus difficile que faire du SEO classique. Si les facteurs de ranking ont un ordre d’importance un peu différent pour les magasins applicatifs, les savoirs-faire restent les mêmes : rédaction de contenu, UX design, identification des meilleurs mots-clés, netlinking, importance attachée à la partie développement, etc.
ASO vs SEO : quelles différences ?
Si les deux pratiques se ressemblent, il convient de ne pas les amalgamer non plus. Si un expert SEO est largement capable de se débrouiller en ASO, en mettant en pratique ses enseignements, quelqu’un qui ne connaîtrait que l’ASO serait vite débordé par les centaines de facteurs et de concurrents à prendre en compte en référencement naturel.  Par exemple, une notion comme le taux de rebond n’existe pas en App Store Optimization. De la même manière, le taux de désinstallation n’a pas sa place dans les problématiques de SEO traditionnel. Enfin, si l’objectif premier du SEO est de faire partie du top tiers des SERPs, l’ASO cherche plus directement à obtenir un grand nombre de conversions. Ce sont donc deux approches bien distinctes, malgré leurs similitudes patentes.
Quels sont les principales boutiques d’applications ?
L’ASO va surtout se concentrer sur l’App Store, le magasin d’Apple, et sur Google Play. Ces deux magasins applicatifs ont un fonctionnement très similaire, avec quelques particularités propres (voir notre article introductif sur l’App Store Optimization). À eux deux, ils rassemblent un chiffre d’affaires estimé à près de 40 milliards de dollars. L’AppStore, actif depuis 2008, sert aux appareils Apple (iPhone, iPad et Mac), tandis que Google Play est intégré dans la plupart des appareils Android.