Un des aspects les plus passionnants du référencement, c’est bien la recherche de mots-clés en SEO. Comparable à une chasse au trésor, cette quête consiste à trouver les territoires sémantiques sur lesquels vous allez pouvoir planter le drapeau de votre domaine, afin de gagner du trafic organique et, a fortiori, de la notoriété.
Bien sûr, le Graal reste de ranker sur des mots-clés très compétitifs, mais pour la plupart des sites web, mieux vaut d’abord trouver sa niche de référencement avec des mots-clés accessibles avant de partir à l’assaut de termes de requête plus généraux.
Mais comment fait-on pour trouver des mots-clés à faible concurrence ? Aujourd’hui, on vous fait part des méthodes et des outils d’experts pour vous positionner sur les mots-clés de longue traîne qui rapportent du trafic sans vous heurter à une trop forte concurrence !
Étape n°1 : dressez une première liste de mots-clés thématiques
Pour cette première étape, il s’agit de débroussailler un peu le chemin et de se préparer un socle de travail. Vous pouvez donc brainstormer, seul ou à plusieurs, afin de faire ressortir tous les termes décrivant votre activité, et qui pourraient faire l’objet d’une requête sur les moteurs de recherche.
Admettons que vous vous lanciez dans une ferme de permaculture qu’on peut venir visiter et dont vous vendez les produits. Voici les termes de recherche qui peuvent vous venir à l’esprit :
- fruits frais
- légumes bio
- produits saisonniers
- potager
- panier garni
- permaculture
- etc.
Arrêtez-vous simplement lorsque vous êtes à court d’idées. Gardez cette première liste que vous allez pouvoir enrichir avec des outils plus ou moins sophistiqués.
Suggestions Google en fin de SERP
Lorsque vous tapez une requête, Google propose des recherches associées tout en fin de la page de résultats. Un vrai générateur d’idées que vous pouvez explorer pour chaque nouveau mot-clé faisant partie de votre liste.
Essayez de ne pas procéder à une sélection trop stricte. Au contraire, prenez le plus de suggestions possibles, même si elles ne vous semblent pas totalement pertinentes. La phase de tri arrivera bien assez tôt !
Wikipedia : l’ami des experts SEO
Avec plus de 20 000 pages à son actif (uniquement en français), Wikipedia regorge de références qui vous donneront de nouvelles inspirations pour votre liste. Sur l’article dédié à la permaculture, par exemple, il vous suffit d’aller dans la partie Sommaire, et de sélectionner “Application de la permaculture”.
Vous voilà avec un paragraphe qui non seulement est bourré de mots-clés, mais qui vous renvoie vers d’autres articles comme “agriculture biologique”, “non labour” ou encore “biodiversité”. En somme, une nouvelle mine à creuser pour compléter votre liste !
Des extensions de navigateur pour trouver des mots-clés populaires
Là, il s’agit d’aller un peu plus loin et de télécharger des extensions gratuites pour obtenir des suggestions avec un volume important de recherche.
Avec Keyword Surfer par exemple, vos nouvelles idées seront accompagnées d’un indice de similarité avec la recherche principale, du nombre de requêtes par mois dans votre pays et même du CPC (coût par clic) pour une campagne adwords !
Il existe aussi Keywords Everywhere (qui s’ouvre aussi sur YouTube et Amazon) que vous pouvez cumuler avec le premier, pour savoir tout ce que les internautes saisissent dans leur barre de recherche contenant le mot-clé que vous avez ciblés.
Nota Bene : rappelez-vous ces outils au moment de bâtir un cocon sémantique !
La concurrence : un foyer de mots-clés à explorer avec des outils SEO plus avancés
Cette fois, on s’adresse aux utilisateurs d’outils comme SEMrush ou Ubersuggest, qui offrent des options encore plus complètes, dont celle consistant à analyser des sites web de votre secteur d’activité, ceux qui, de facto, sont en compétition avec vous. L’astuce en soi, est très simple : trouver les requêtes sur lesquelles vos concurrents directs se positionnent dans les premiers résultats des moteurs de recherche, et les ajouter à votre liste initiale.
Pour Ubersuggest par exemple, vous avez un onglet “Analyse de la concurrence” qui vous donne les “sites similaires” à votre domaine. Ensuite, vous pouvez faire apparaître le “keywords gap” par exemple, c’est-à-dire tous les mots-clés pour lesquels vous êtes en grand retard de ranking par rapport à vos rivaux.
Quant à SEMrush, il dispose d’une fonction de recherche organique dans laquelle vous pouvez rentrer le nom de domaine d’un concurrent afin de récupérer tous les termes de recherche pour lesquels il se classe dans les 100 premiers résultats Google.
Pour les deux outils, des options de filtrage comme le nombre de termes par expression nous aideront à affiner la recherche.
Nota bene : si vous avez déjà un compte Google Analytics, le Google Keyword Planner pourra également vous aider !
Étape n° 2 : multipliez le nombre de mots-clés de votre liste principale
Si vous avez scrupuleusement suivi les conseils ci-dessus, peut-être avez-vous pu rassembler 100, 1 000, voire 10 000 mots-clés. Quel intérêt d’aller en chercher davantage ? En fait, plus vous ratissez large, plus vous avez de chances, au moment de les passer au filtre, de trouver la pépite qui vous permet de ranker facilement sur une requête avec un volume de recherche intéressant.
Donc, pour développer votre liste, vous allez récupérer :
- des mots-clés de longue traîne ou des phrases comportant le terme exact ;
- des expressions sémantiquement similaires (synonymes, hyponymes, hyperonymes, etc.) ;
- des questions pour alimenter vos FAQ.
Pour y parvenir, vous aurez de nouveau besoin d’outils avancés comme SEMrush, ou Ahrefs, dans un programme de type “keyword manager” ou “explorateur de mots-clés” qui sera à même d’extrapoler des milliers de suggestions à partir de votre liste d’origine, que vous pourrez généralement exporter directement sur le logiciel choisi.
Bien entendu, pour chaque terme ou expression, vous connaîtrez des indicateurs de référencement tels que les volumes de recherche, la difficulté ou la courbe de tendances.
Pourquoi ajouter des questions à la liste de mots-clés ?
De plus en plus, les internautes formulent leur requête sous forme de question, soit à l’écrit, soit à l’aide d’assistants vocaux. Même si c’est plus long à taper pour celles et ceux qui n’utilisent pas Alexa ou Siri, c’est un langage plus naturel pour l’utilisateur. Il est donc essentiel d’anticiper en préparant pour votre site ou votre blog une section FAQ.
Nota Bene : pour trouver des questions, vous pouvez également passer par la plateforme Answer The Public, qui trouvera des requêtes comportant des pronoms interrogatifs comme “qui”, “quoi”, “quand”, “où”, “pourquoi” ou “comment”.
Étape n°3 : filtrez les mots-clés à faible concurrence et à haute valeur stratégique
On y arrive : la sélection de mots-clés proprement dite, avec le bon équilibre entre une concurrence modérée et un volume de recherche assez élevé pour amener du trafic sur votre domaine. C’est un peu fastidieux, mais c’est là que tout va se jouer, pour réduire votre liste à un ensemble de mots-clés précis pour lesquels vous allez mener tout le travail de SEO ultérieurement. Voici donc une série d’indicateurs qui vous aideront dans votre sélection !
Premier critère essentiel : le volume de recherches mensuelles
C’est un indicateur très facile à obtenir avec tous les outils que nous avons mentionnés plus haut. Il vous donne simplement le nombre moyen de recherches par mois ; un chiffre qui peut aller de quelques dizaines à plusieurs milliers. Alors quelle est la meilleure valeur ?
Évidemment, il n’existe pas de réponse universelle, mais voici quelques pistes pour choisir les termes les plus intéressants en matière de trafic rapporté.
Volumes de recherche inégaux en fonction de votre business
En fait, tout dépend de votre activité. Pour le simple mot “tatouage”, Keyworld Surfer indique plus de 200 000 recherches/mois. Tandis que pour “panier fruits et légumes”, le nombre de requêtes mensuelles tombe à 1 900. Donc on ne peut que comparer les volumes de recherche entre deux deux mots-clés d’un même thème.
Fluctuations du volume de recherches
Ensuite, vous devez impérativement vérifier la tendance que prend chaque mot un mois sur l’autre. De cette manière, vous éviterez de vous positionner sur un terme en chute libre.
Si vous n’avez pas encore téléchargé les extensions décrites en étape 1, vous pouvez étudier les tendances de vos mots-clés sur Google Trends en ligne.
Taux de clic organique par mot-clé recherché
Plus fin encore, il peut être très utile de vous renseigner sur le taux de clic auquel mène une requête. Car rien ne garantit qu’un gros volume de recherche aboutisse à du trafic.
En effet, peut-être les internautes se contentent-ils des informations données dans les featured snippets, ou bien ont-ils le réflexe de lancer une seconde recherche en spécifiant davantage leur besoin. Enfin, il se peut également que les clics reviennent à des liens sponsorisés, qui n’entrent donc pas dans le champ du trafic organique.
Donc pour vos mots-clés candidats, n’hésitez pas à employer les logiciels présentés ci-dessus comme Ahrefs (ci-dessus), SEMrush ou Moz pour connaître le taux de clics organiques pour vos meilleurs mots-clés.
Second critère : mettre de côté les mots-clés à concurrence forte
On y est presque ! Ne reste plus qu’à réduire votre liste à des mots-clés pour lesquels il vous sera possible de bien vous positionner sans aller chercher la lune. Afin d’y parvenir, il convient de différencier deux notions : la densité de concurrents et la difficulté estimée à les supplanter.
Comment estimer la densité de la concurrence ?
Il existe deux manières de vous faire une idée du nombre de pages web optimisées pour un mot-clé dont vous examiner la concurrence.
La première est manuelle ; il s’agit d’observer les premiers résultats organiques qui apparaissent dans les SERP. L’idée est de voir si les premières positions sont occupées par d’immenses medias ou entreprises. Si vous avez Le Figaro ou Greenpeace sur le coup, alors il y a de fortes chances pour que de nombreux résultats pertinents les secondent, et qu’il va être compliqué d’atteindre ne serait-ce que le top 10.
La seconde consiste à s’informer de l’activité des annonceurs sur ce mot-clé en particulier. Certes, on sort du cadre du trafic organique, mais cet indice prouve à quel point ces termes de recherches suscitent l’intérêt des plus puissants acteurs du marché. En outre, comme on l’a dit en parlant des taux de clic, les liens sponsorisés peuvent aspirer une partie du trafic potentiel.
Sur l’interface de SEMrush, cette métrique se mesure en décimale située entre 0 et 1. Les mots-clés à plus de 0,80 sont donc des aimants à publicités, et les termes inférieurs à 0,60 sont beaucoup moins assaillis par les équipes marketing. Il sera donc sans doute plus facile d’y faire du clic.
Comment évaluer la difficulté SEO d’un mot-clé ?
La difficulté d’un mot-clé exprime la quantité d’efforts d’optimisation nécessaires pour surclasser la concurrence organique. C’est la partie la plus délicate, puisque les critères de difficulté de référencement sont multiples et variables. Mais vous le savez déjà si vous avez lu notre article sur le Predictive Ranking !
Principaux facteurs de puissance SEO
Voici les principaux indicateurs pris en compte par les outils SEO pour déterminer l’inertie d’un serveur bien positionné dans une SERP :
- l’ancienneté du domaine (date de création, fréquence d’activité, etc.) ;
- le nombre de backlinks de qualité (pour le site et pour la page) ;
- le taux de rebond ;
- la notoriété (trafic déjà existant sur la page ou le domaine) ;
- l’engagement des internautes (nombre de commentaires et de partages).
Vous l’aurez compris, ces facteurs sont en lien direct avec la notion d’autorité d’un site internet.
Comment les outils SEO déterminent la puissance des domaines concurrents ?
En fait, tous les facteurs énoncés précédemment ne sont pas forcément pris en compte par tous les logiciels de référencement naturel. Certains, comme Ahrefs, se fondent uniquement sur les backlinks, en tenant compte de leur qualité. Ce qui implique de connaître :
- l’autorité du site et de la page à l’origine de la redirection ;
- l’emplacement du lien sur la page d’origine (les premiers offrent davantage de linkjuice) ;
- la pertinence de l’ancre du lien de redirection ;
- l’utilisation ou non du nofollow (les liens en “follow” sont bien meilleurs).
De son côté, Mozbar, s’intéresse davantage à l’autorité de la page référencée. Quoi qu’il en soit, les logiciels SEO se fondent sur les facteurs de ranking les plus importants pour estimer un niveau de difficulté. En effet, vous aurez beau optimiser vos pages dans les moindres détails, si la meilleure d’entre elles ne reçoit que 2 backlinks en nofollow contre une dizaine de liens suivis chez vos cinq plus gros concurrents, vos efforts seront vains. Eh oui, le référencement peut être cruel…
Dans tous les cas, l’interface de votre outil SEO pourra analyser environ 1 000 mots-clé à la fois, pour vous donner un indice chiffré sur leur degré de difficulté, allant généralement de 0 (archifacile) à 100 (presque impossible). Comme nous visons une faible concurrence, privilégiez les mots-clés au-dessous de 75 %, voire 60 % si possible. Et à moins de 40 %, en principe, vous êtes tranquilles !
Que faire de vos mots-clés à faible concurrence ?
À ce stade, vous devriez avoir trouvé un certain nombre de mots-clés stratégiques, à savoir un volume assez juteux gardé par une concurrence de chèvres. Reste encore à bien les exploiter !
Comprendre l’intention de recherche des mots-clés à faible concurrence
Eh oui, ce serait trop bête de proposer un contenu inadapté pour les requêtes retenues, et se retrouver avec un taux de rebond qui ruinerait tous les efforts fournis jusqu’ici. C’est pourquoi il faut garder la lucidité jusqu’au bout en vous demandant si les mots-clés stratégiques traduisent une intention :
- informationnelle, c’est-à-dire relative à un savoir encyclopédique sur un sujet (exemple : “permaculture définition” ou “la permaculture, c’est quoi ?”) ;
- navigationnelle, lorsque l’internaute sait déjà quel site web il veut visiter (exemple : “uplix”) ;
- commerciale, pour laquelle l’internaute enquête sur une solution à ses besoins sans intention d’achat immédiate (exemple : “légumes frais pas cher”);
- transactionnelle, où l’utilisateur sait déjà quel produit ou service il a décidé d’acheter et se mobilise pour effectuer la transaction (exemple : “épicier primeur toulouse centre”).
Tous ces cas de figure requièrent des pages web très différentes : contenu informationnel dans une vidéo ou article de blog, page d’accueil attractive, comparatif ou catalogue avec descriptif des produits et tarifs, landing page ou fiche d’établissement Google, pour faciliter les démarches d’achat, etc.
Cas particuliers d’intentions de recherche difficiles à interpréter ou à satisfaire
Évidemment, pour les mots-clés où l’intention vous semble ambiguë, il vous suffit de voir ce que proposent les premiers résultats des moteurs de recherche. En effet, il peut y avoir des situations de ce type : je recherche l’orthographe du mot “anse” en tapant “ance du panier” sur Google (intention informationnelle) et voilà que les premiers résultats me donnent le nom d’un restaurant marseillais (requête navigationnelle), avec, au passage, la bonne orthographe.
Certes, ce dernier exemple est un peu abstrait, mais il démontre que l’intention de recherche n’est pas toujours évidente à cerner pour un mot-clé. Et parfois, de plus ou moins grandes enseignes peuvent monopoliser une place de choix dans les SERP justement à cause des requêtes navigationnelles.
Enfin, malgré avoir appliqué les bonnes méthodes, il se peut que certains mots-clés s’éloignent trop de votre champ d’expertise. Il peut être tentant de forcer la chance et d’essayer de vous ranker dessus, mais il risque d’en ressortir un contenu inapproprié. C’est pourquoi nous vous conseillons de les abandonner.
Former un champ sémantique adapté pour chaque mot-clé choisi
Vous le savez sans doute, les mots-clés principaux ne peuvent faire fonctionner un contenu que s’ils sont entourés de mots-clés secondaires (synonymes, mots de même racine, champ lexical thématique, etc.).
En général, il suffit de travailler un peu le sujet, et de proposer un contenu de qualité pour que les mots-clés secondaires s’agglomèrent naturellement autour du principal. Néanmoins, vous pouvez avoir besoin de quelques recommandations pour un contenu totalement optimisé. Retrouvez nos conseils de rédaction SEO pour en savoir davantage !
Nota bene : rien ne vous empêche de reprendre vos listes des étapes 1 et 2 !
Prioriser les mots-clés à faible concurrence éligibles à des Featured Snippets
Ça, c’est la dernière petite astuce pour faire figurer une de vos pages en position zéro, c’est à dire encore au-dessus du premier résultat naturel. Il s’agit d’extraits optimisés censés apporter un premier élément de réponse à un internaute venu chercher de l’information.
L’idée est donc généralement de répondre à une intention informationnelle depuis la SERP, en incitant l’utilisateur à cliquer pour en savoir plus. Il est courant que les outils SEO vous informe de la possibilité de produire un extrait enrichi pour occuper le haut d’une page de résultat. Vous montrerez du même coup aux internautes que vous êtes une vraie référence de votre secteur !
En bref…
Vous savez désormais comment trouver des mots-clés à faible concurrence. Certes, les étapes à suivre nécessitent patience, rigueur et une familiarisation avec certains outils SEO. Cela étant, en respectant à la lettre chaque moment du plan que nous avons détaillé ici, même un site débutant pourra obtenir du trafic organique, probablement qualifié, afin de gagner rapidement en notoriété. Autrement dit, avec ces informations en poche, vous touchez réellement à l’essence d’une bonne stratégie SEO !
Vos questions, nos réponses !
Quels outils pour trouver des mots-clés SEO ?
Il en existe des tas ! Des recherches associées en fin de SERP à Google Keyword Planner, en passant par Wikipédia ou KWFinder, vous pourrez également télécharger des extensions telles que Keyword Surfer ou Keyword Everywhere, afin de compléter votre liste initiale. Dans un second temps, vous aurez sans doute recours à des outils SEO plus avancés tels que Moz, SEMrush ou Ubersuggest pour donner corps à une liste de plusieurs milliers de mots-clés.
Combien de mots-clés doit-on trouver ?
Un maximum ! Et ça peut aller très vite, grâce aux mots-clés de longue traîne ou aux expressions sémantiquement proches. Donc ne vous arrêtez pas à 1 000 ou à 10 000 si vous n’avez pas exploré toutes les possibilités pertinentes pour votre entreprise. Vous augmentez alors vos chances de tomber sur une pépite stratégique après avoir filtré le volume de recherche associée et la concurrence trop forte pour vous.
Pourquoi ne pas viser les mots-clés à concurrence forte ?
Tout simplement parce que le référencement naturel ne dépend pas que de vos propres efforts d’optimisation SEO. En effet, l’autorité d’un domaine dépend grandement du comportement des utilisateurs et des backlinks reçus de la part des autres sites du même secteur. Ainsi, certains de vos concurrents bien établis comme référence dans leur cadre d’activités sont indétrônables sur certains mots-clés. C’est pourquoi il vaut mieux commencer là où les compétiteurs se font moins rudes, le temps de monter en puissance aux yeux des algorithmes Google.