Vous avez commencé à élaborer une stratégie de référencement avec votre agence SEO (cocons sémantiques, netlinking, serveur plus performant, etc.). Depuis le début, les experts, soucieux de votre satisfaction, vous parlent de KPIs afin de mesurer les progrès de votre site depuis son lancement.
Un Key Performance Indicator est un indicateur de performance (SEO, marketing, social media, etc.), que l’on recueille grâce à divers outils de mesure. Il permet d’évaluer concrètement l’efficacité d’une campagne ou d’une batterie d’optimisation, à travers un chiffre-clé. Il en existe des dizaines.
Cependant, chaque KPI pris à part, sans objectif précis et sans point de comparaison, sera difficile à interpréter. C’est pourquoi nous avons décidé de vous présenter un maximum d’indicateurs-clés qui, mis ensemble, vous donneront avec une faible marge d’erreur une vision claire de votre avancée vers l’objectif que vous vous êtes fixé !
Objectif : une présence digitale stable ! 3 KPI SEO pour la santé technique d’un site web
Cette partie sert un peu de préambule : elle n’est pas un objectif SEO en soi, mais plutôt la condition sine qua non pour obtenir des résultats probants. En effet, les indicateurs suivants ne mesurent pas directement le succès d’un site web, mais peuvent à eux seuls expliquer une lourde chute de trafic SEO.
Couverture d’indexation : vos pages sont-elles correctement prises en compte par les moteurs de recherche ?
Ça peut faire un peu bateau de toujours évoquer les problèmes d’indexation, mais négliger que tout fonctionne sur ce plan serait une grave erreur. En effet, si l’on n’y prend pas garde, on peut laisser des pages désindexées pendant plusieurs mois sans s’en rendre compte.
En conséquence, ayez toujours un œil sur la Search Console et plus particulièrement le fichier robots.txt. Grâce à cet indicateur d’indexation, vous êtes en mesure de contrôler les pages à indexer ou non. Il faut également vérifier que vos pages sont bien référencées dans votre fichier sitemap.xml.
Nota Bene : plus largement, il convient de traquer tous les rapports d’erreurs délivrés par la Search Console (URL, ergonomie desktop et mobile, problématiques sur des éléments cliquables, etc).
Temps de chargement et Core Web Vitals
Nous serons catégoriques à ce sujet : vous devez impérativement être au point en ce qui concerne le chargement de vos pages. En effet, tous les internautes (probablement vous compris) ont horreur d’attendre plus de 3 seconde qu’une page se charge.
Dans la même veine, les Core Web Vitals (ci-dessus) désignent :
- le temps de chargement de la plus grosse partie de l’affichage du contenu (LCP) ;
- le délai avant qu’une première interaction avec la page soit possible (FID) ;
- la capacité des pages à rester stables pendant qu’elles s’affichent (CLS).
Tous ces indicateurs servent donc à éviter les éventuelles frustrations de l’utilisateur, qui nuisent à la durée des visites, aux conversions, mais également au classement dans les SERP. En effet, les bots vous pénalisent d’office lorsqu’ils détectent des défaillances techniques. Dès lors, impossible de ranker malgré des contenus pertinents.
Nota Bene : si vous n’êtes pas sûr·e des performances de votre site web, essayez des outils comme Google Pagespeed Insight, Pingdom Website Speed Test, GTmetrix ou encore Test My Site. La plupart pointent quels types d’éléments freinent le chargement de vos pages (images volumineuses, code mal optimisé, …).
Fiabilité de votre responsive design (version mobile)
Enfin, il faudra vous assurer que l’ajout de votre site dans l’Index Mobile First s’est bien déroulé sans encombre. En effet, Google prête une attention particulière au bon fonctionnement et à la bonne ergonomie des sites responsives (fonctionnant sur mobile).
Encore une fois, la Search Console sera votre amie en vous permettant de tester la version mobile de votre site web et d’envisager certaines optimisations en cas de problème d’utilisation sur smartphone ou tablette. L’outil Mobile Friendly peut également vous servir.
Objectif : plus de visibilité ! 5 KPI SEO pour mesurer votre trafic
Passons au vif du sujet : le trafic SEO proprement dit. Nous allons voir que la mesure du volume de visiteurs organiques est plus subtile qu’il n’y paraît au premier abord.
Positionnement dans les SERP sur vos mots-clés principaux
C’est un peu l’objectif premier de toutes les agences SEO : faire partie du top 3 des résultats dans les SERP. Bien sûr, il s’agit surtout de bien se classer sur les mots-clés stratégiques, dont vous devez avoir fait la liste.
L’évolution de vos placements dans les pages de résultat est donc un excellent indicateur de performance et d’efficacité de vos efforts d’optimisation. Ce n’est évidemment pas le seul, car il se peut que vous ayez mal identifié les mots-clés recherchés par les internautes.
Un bon positionnement ne garantit donc pas totalement un fort trafic organique. C’est pourquoi les KPI suivants sont également très importants, afin d’être sûr·e et certain·e que vos mots-clés sont les bons.
Nota Bene : la Search Console et le Bing Webmaster Tools vous permet d’avoir une vue d’ensemble en vous donnant, depuis la base de données Google, la position moyenne de votre site web sur les mots-clés que vous avez choisis. Pareillement, on pensera à des outils comme Semrush ou Ubersuggest.
CTR : nombre de clics / nombre d’impressions
Pour aller un peu plus vite, envisageons trois indicateurs en un :
- le nombre d’impressions, à savoir toutes les fois que votre URL apparaît dans une page de résultats ;
- le nombre de clics sur une de vos pages ;
- le rapport entre les deux, autrement dit le taux de clics (ou CTR).
Pour le nombre d’impressions, sachez qu’elles sont comptabilisées dès que votre page est incluse dans une SERP, qu’elle soit bien visible tout en haut, ou qu’elle apparaisse sous la ligne de flottaison, c’est-à-dire après défilement de la souris.
Le CTR est très important, car il permet de mettre en lumière toutes les fois où l’internaute ne choisit pas de cliquer sur votre suggestion de contenu. Cela peut permettre de poser le doigt sur une mauvaise optimisation des balises title et des metadescriptions. Aussi, vous pourrez en profiter pour étudier la concurrence qui vous ravit votre trafic SEO !
Proportion des visiteurs naturels/payants
Ici, on entre davantage dans le détail, car il s’agit de cerner un peu mieux le comportement de vos visiteurs. Il convient donc de faire d’abord la distinction entre les internautes acquis via une campagne Ads et celles et ceux directement issus de votre classement SEO.
En effet, si tout votre public vient du référencement payant, il vous coûte beaucoup plus cher. Il convient donc de trouver les pages qui vous rapportent le plus de trafic organique et d’optimiser les autres. Google Analytics vous sera d’un grand secours pour mettre la main sur cet indicateur clé.
Efficacité de votre référencement local
Eh oui, en matière de visibilité, le référencement local, ça se pose là ! En effet, beaucoup d’internautes et de mobinautes effectuent des recherches locales, en ajoutant dans la barre de saisie un nom de lieu ou de zone. En outre, pas mal de requêtes sur mobiles utilisent par défaut la géolocalisation de leur appareil pour obtenir des résultats géographiquement proches de l’utilisateur.
L’avantage majeur du SEO local est qu’il fait naturellement le tri avec la concurrence située loin de vous. Ainsi, vous devez vous assurer que les prospects se trouvant dans votre zone de chalandise puissent vous trouver grâce à leur téléphone.
Rendez-vous donc sur le tableau de bord de votre fiche Google Business Profile pour connaître des indicateurs tels que le nombre d’appels reçus, les demandes d’itinéraires menant à votre adresse géographique ou encore les mots-clés où vous apparaissez en tant que résultat local…
Efficacité de vos autres canaux d’acquisition
On appelle canal d’acquisition tous les sites, plateformes et réseaux via lesquels votre site web récupère des clics.
On a déjà parlé plus haut du référencement payant avec Google Ads (ou Bing Ads), mais il existe d’autres sources de trafic :
- les social medias (Facebook, YouTube, Instagram, etc.), très efficaces quand votre community manager est au taquet et que vous êtes sur les bons réseaux sociaux;
- les blogs (comme celui-ci) qui servent notamment à développer une stratégie de contenu, et plus largement de l’Inbound Marketing ;
- la publicité digitale, principalement à travers les liens sponsorisés (Search) et les espaces réservés aux annonces sur d’autres sites web (Display) ;
- le referral (ou parrainage), qui consiste à proposer des avantages à vos clients pour qu’ils deviennent vos ambassadeurs ;
- l’e-mailing, les SMS et autres notifications push (très efficaces sur mobile) notamment.
Bref, bien connaître l’origine de son trafic est crucial pour savoir quelle direction prendre lors de vos campagnes marketing, et quels sont les canaux à améliorer ou peut-être à laisser tomber.
Objectif : accroître sa notoriété ! 3 KPI SEO pour suivre la popularité d’un site web
On entre un peu plus en profondeur avec la notoriété de votre domaine. Directement corrélé à l’évolution de votre trafic SEO, elle est censée augmenter avec le temps, gagnant en popularité auprès des utilisateurs. Dans ce cadre, l’expérience utilisateur (UX) représente un levier majeur pour gagner en popularité !
Le taux de rebond : un excellent révélateur de mauvaise UX
Il vous est sans doute déjà arrivé de cliquer sur une URL pour tout de suite faire machine arrière. C’est ce qu’on appelle le rebond. Et le rapport entre le nombre total de clics et les sessions avortées vous donne le taux de rebond.
Ce KPI, disponible sur Google Analytics, est extrêmement utile, car il permet généralement de voir toutes les fois où l’utilisateur n’a pas trouvé ce qu’il cherchait ou qu’il s’est heurté à un temps de chargement trop long. Parfois, c’est également révélateur d’un manque de CTA (call-to-action) ou d’un défaut de maillage interne.
Nota Bene : le taux de rebond ne tient pas compte de la durée de la session, mais de l’absence d’interactions sur votre page (clics, saisie, envoi de formulaire, scrolling, etc.)
La durée des sessions utilisateurs : une marque d’intérêt incontestable
Le KPI SEO complémentaire du taux de rebond est forcément la durée de visite des utilisateurs. Vous pouvez savoir le temps moyen passé par les utilisateurs sur votre site ou bien le temps par page.
De cette manière, vous pouvez au moins vous rendre compte de si les internautes et mobinautes lisent ou regardent vos contenus, même si cela n’aboutit à aucune action supplémentaire. Vous avez donc su susciter l’intérêt. Mais si le taux de rebond reste élevé, c’est que cet intérêt n’a pas duré bien longtemps.
Bien sûr, en fonction de si vous êtes sur une page d’accueil, une landing page ou un article de blog, l’interprétation de la durée d’une session et du taux de rebond ne sera pas la même. Une session courte qui aboutit à une conversion, par exemple, vaut mieux qu’une session longue sans action sur la page.
Le nombre de pages consultées par session
Proche de la durée des sessions, la question ici est de savoir si les personnes qui consultent votre site internet y naviguent franchement. Vont-elles droit au but, c’est-à-dire vers une conversion ? Ou interrompent-elles leur session prématurément ?
Ainsi, il est possible d’obtenir la moyenne du nombre de pages visitées chaque fois qu’un utilisateur se connecte, ce qui donne un excellent aperçu de l’intérêt que peuvent générer vos contenus.
Mais s’il est bon qu’une session s’ouvrant sur une page d’accueil conduise à une exploration prolongée de votre site, ce n’est pas la même chose concernant une landing page. Là, si le visiteur multiplie les clics, c’est sans doute qu’il s’est perdu lors de son parcours de conversion.
Trafic issu d’une recherche directe de la marque
Cet indicateur assez précis est à mi-chemin entre la notoriété (vous êtes connu·e, voire populaire), et l’autorité (vous êtes une référence indiscutable). Il permet de savoir quelle proportion de votre trafic SEO est arrivée en saisissant le nom de votre marque dans la barre de recherche.
Bien sûr, cela permet d’abord de s’assurer que votre site s’affiche bien lorsqu’on cherche à entrer en contact avec votre entreprise. Ensuite, cela vous permet de vous donner une idée de la popularité de votre enseigne.
Cependant, il se peut que l’on se réfère à vous uniquement le temps d’une campagne publicitaire (digitale ou non) ou d’une offre promotionnelle. La bonne nouvelle, c’est que le coup marketing a fait mouche. La moins bonne, c’est que cela occulte les vrais résultats SEO. En conséquence, mettez toujours en parallèle l’évolution de votre trafic SEO et les annonces ponctuelles.
D’autre part, il sera bon de mettre côte à côte les recherches “avec marque” et les “non-marques” afin de voir si vous apparaissez même quand on ne mentionne que l’activité dont vous avez fait votre business. C’est d’ailleurs à ce moment-là qu’on parlera d’autorité.
Objectif : gagner en autorité ! 3 KPI SEO pour évaluer la pertinence de vos contenus
On passe au niveau supérieur : ici, on veut s’assurer que notre site, nos contenus, nos produits et nos services soient considérés comme les meilleurs du marché. Rien de moins !
L’autorité de domaine : un indicateur qui ne trompe jamais
Heureusement, il existe un indicateur tout prêt, justement appelé “autorité de domaine”, qui aide à calculer la force du vôtre. Google vous attribue une note d’autorité, laquelle pèse lourd sur le classement des SERPs.
Pour la consulter, installez sans délai l’extension Mozbar, puis rendez-vous directement sur votre site web afin de connaître votre score de Domain Authority ! Plus votre note est proche de 100, plus le site a de chances de bien se positionner.
Par ailleurs, ne vous affolez pas si vous trouvez votre score au-dessous des 90 points. En effet, les scores vraiment élevés sont attribués à des mastodontes tels que Wikipédia. Quoi qu’il en soit, pour faire grimper votre note de Domain Authority, rendez-vous au point suivant !
Le nombre de backlinks : un fort indicateur de reconnaissance
Les (bons) backlinks, c’est de l’or en barre ! D’un autre côté, ceux de mauvaise qualité sont à éviter à tout prix, surtout de puis la mise en place de Google Penguin. Quoi qu’il en soit, connaître le nombre et l’origine des liens externes pointant vers votre site est important. Des outils comme Semrush, Majestic SEO ou Ahrefs sont là pour vous donner accès à ces informations.
Plus important encore : connaître leur niveau de qualité ! Et comment sait-on si un backlink est un bon backlink ? En vérifiant la note d’autorité du domaine référent (c’est-à-dire avec un ou plusieurs liens externes pointant vers une de vos pages), comme on vous l’expliquait au point précédent !
Nota Bene : il existe plein de manières de s’attirer des backlinks, mais les meilleurs sont souvent ceux que vous obtenez naturellement.
Les contenus à fort potentiel : votre référence qualité
On en vient fatalement à la question du contenu ! En effet, pour qu’un site fasse autorité, il faut bien passer par le contrôle qualité. Une bonne pratique est donc d’aller chercher les contenus qui :
- reçoivent beaucoup de clics (attractivité) ;
- rankent sur des mots-clés stratégiques, à savoir souvent recherchés mais avec une faible concurrence dans les SERPs (spécialisation) ;
- débouchent sur une action de l’internaute (suscite l’engagement).
De cette manière, vous pouvez mieux cerner les besoins de votre public cible et les thématiques associées.
Objectif : booster le chiffre d’affaires ! 4 KPI SEO tournés ROI
Passons enfin à la dernière étape : rentabiliser tous vos efforts d’optimisation. Pour cela, il est capital d’avoir de bons indicateurs de retour sur investissement (ROI).
Le chiffre d’affaires généré : la base
Certes, cet indicateur est assez simple, mais il est indispensable pour donner une valeur concrète au bien fondé de vos actions SEO et marketing.
À ce titre, il faudra être en mesure de distinguer les hausses soudaines de CA souvent dues à une campagne d’annonces efficace, de l’évolution générale de vos ventes et autres sources de revenu sur plusieurs mois, grâce aux améliorations UX et SEO entreprises sur votre domaine.
Nombre de sessions par utilisateur
Une session désigne l’ensemble des interactions effectuées sur votre site web lors d’une connexion par un·e internaute. En gros, chaque fois qu’un ou une internaute passe sur votre site, cela compte comme une session.
Cette information peut servir à beaucoup de choses, mais marque généralement un intérêt assez fort de la part des utilisateurs. Mais comme pour tout, ce n’est pas suffisant pour s’en satisfaire : une e-boutique recevant beaucoup de visites des mêmes prospects sans jamais convertir fait peut-être fausse route dans le parcours d’achat qu’elle propose.
À l’inverse, un client qui vient régulièrement, même s’il ne convertit pas toujours, montre que votre entreprise présente un vrai potentiel de fidélisation. Et ça, c’est jackpot !
Le volume et le taux de conversion pour connaître votre efficacité
La conversion, c’est l’action que vous souhaitez voir réalisée par vos prospects pour pouvoir considérer que votre affaire tourne bien. Cela peut évidemment être un achat, mais tout aussi bien une demande de devis ou de contact, le téléchargement d’un formulaire ou d’une application, une inscription à la newsletter, un abonnement, etc.
Plus largement, vous pouvez considérer comme une conversion n’importe quel objectif rempli par votre cible :
- atteindre une zone spécifique de votre site ;
- visiter un certain nombre de pages ;
- rester assez longtemps sur un de vos contenus ;
- comme vu plus haut, réaliser n’importe quelle action qui puisse servir vos objectifs.
Quoi qu’il en soit, Google Analytics vous servira à définir les conversions attendues (section “Administration” > “Objectifs” > création de nouvelles conversions).
Le volume représente le nombre total de conversions obtenues, tandis que le taux s’obtient en le mettant en rapport avec le nombre de sessions enregistrées sur votre site sur une période donnée. Ainsi, avec le taux de conversion, vous aurez une idée claire de l’efficacité de votre parcours utilisateur !
Nota Bene : dans cette perspective, notre agence Uplix est largement tournée CRO (Conversion Rate Optimization). Autrement dit, nous faisons tout pour augmenter votre taux de conversions !
Le coût par clic : un moyen fiable de mesurer votre rentabilité
Pour terminer, nous avons le coût par clic, qui permet de calculer directement le retour sur investissement de votre stratégie SEO. Pour cela, vous devez d’abord mesurer l’écart entre le nombre de clics actuel que vous enregistrez en moyenne à l’année, et ceux que vous aviez auparavant (exemple : 50 000 – 20 000 = 30 000).
Ensuite, vous divisez le coût de votre mandat avec une agence SEO comme Uplix (mettons 10 000 €) par le nombre de clics supplémentaires. Cela donne 10 000 /30 000 soit 0,33 € par clic.
Évidemment, cela reste une estimation, car on ne peut jamais affirmer à coup sûr que l’augmentation du nombre de clics soit bel et bien liée à votre stratégie SEO. Quoi qu’il en soit, plus la valeur trouvée est faible, mieux c’est ! Associé à un fort taux de conversion, vous êtes sûr d’avoir rempli vos objectifs CRO !
En bref, les KPI SEO, c’est…
… beaucoup d’indicateurs qui, déjà, aident à mesurer la progression de votre trafic en général, mais également vous accompagner à toutes les étapes mises en place au fur et à mesure du déroulement de votre stratégie SEO.
Cela dit, récupérer ces données, les analyser et les interpréter correctement peut sembler casse-tête. Comme il serait absolument déraisonnable de s’en passer, Uplix s’en charge à votre place lorsque nous prenons en main votre stratégie de référencement naturel !
Vos questions, nos réponses !
Quels outils pour le suivi SEO ?
Il en existe plein ! Dans notre article sur les principaux KPI SEO, nous avons parlé d’outils gratuits comme Google Analytics, la Search Console, Test My Site ou Mobile Friendly. À tester en autonomie pour vous familiariser avec un maximum d’indicateurs. Mais il existe aussi plein d’outils avancés et payants comme Screaming frog, Ahrefs, Moz, Majestic SEO ou encore SEMrush. Pour choisir un de ceux-là, mieux vaut être accompagné·e d’un·e expert·e SEO.
Différence entre données micros et macros en référencement ?
Dans notre article sur les KPI SEO à connaître absolument, nous nous sommes concentrés sur les données “micros”, à savoir tous les chiffres qui concerne directement les performances de votre site web.
À l’inverse, les données “macros” parlent d’éléments externes, dont nous parlons davantage dans les 10 raisons qui peuvent expliquer une chute de trafic SEO. On trouve, par exemple, le comportement des utilisateurs, la mise à jour des algorithmes de moteurs de recherches, une concurrence qui grimpe en flèche, etc.
Comment tenir compte des données macros avec vos KPI SEO ?
Chaque fois que vous étudiez une courbe d’évolution, en parallèle, vous devez clairement rappeler le contexte macro de la période étudiée : actu SEO, tendances du marché, les impacts possibles des éléments extérieurs sur votre site web, etc.
L’idée est toujours interpréter un tableau de rapport de référencement naturel sous le prisme de l’impact éventuel des données macros à votre disposition. Cela permet d’envisager des actions correctives en réponse directe à tout ce qui peut menacer votre pouvoir de ranking.
Comment avoir une écriture SEO friendly ?
Retrouvez tout ce qu’il y a à savoir pour créer du contenu SEO friendly dans notre article dedié à la question.